Autonomiser les jeunes acteurs du changement

Lancé en février 2024, un projet novateur d’auto-plaidoyer s’apprête à voir collaborer des jeunes travailleurs avec et sans déficience intellectuelle issus de pays et cultures différentes (Croatie, France, Palestine et Égypte). Cette initiative de jeune à jeune présente de nombreux avantages en s’appuyant sur des thèmes pertinents comme le dialogue interculturel, l’inclusion sociale et le développement durable.

Reconnaissant à la fois le bilan positif des partenaires et le potentiel impact considérable de ce projet, l’UE n’a pas hésité à offrir un financement de 300 000 € sur 3 ans, lorsque Korablja, L’Arche Internationale, Ma’an Lil Hayat et Caritas Égypte ont soumis leur candidature conjointe.

Le porte-parole de Korablja, Miron Perić, a souligné la nouveauté et l’ambition du projet : « Nous sommes ravis que l’UE ait reconnu la valeur de ce projet progressiste. Dans un contexte de forte concurrence entre plus de cent projets, TwidSA fait partie des 14 projets les mieux notés qui ont reçu un financement de l’UE. Ce qui distingue ce projet passionnant, c’est la combinaison de quatre ingrédients clés pour un succès durable : un bilan exceptionnel de changement avéré, une solide collaboration interculturelle entre des partenaires de confiance, et l’imagination sans limites des jeunes participants au projet.

Capture d'écran de la première session

L’objectif du projet est de combattre la discrimination et la passivité citoyenne grâce à une participation croissante des jeunes : chacun des 24 jeunes travailleurs – avec ou sans handicap – recevra une formation transnationale en renforcement de capacités. Une fois qu’ils auront terminé les 4 modules de formation (y compris une session en présentiel en Croatie), ils auront les compétences et la confiance nécessaires pour organiser eux-mêmes 16 webinaires en ligne et en face à face, destinés à un public cible de 1600 jeunes. 

 

Cofinancé par l’Union européenne. Les points de vue et opinions exprimés sont toutefois ceux de Korablja et de ses partenaires uniquement et ne reflètent pas nécessairement ceux de l’Union européenne ou de l’Agence exécutive européenne pour l’éducation et la culture (EACEA). Ni l’Union européenne ni l’EACEA ne peuvent en être tenues responsables.